Messages : 7 Gallions : 35 Date d'inscription : 05/03/2020
Sam 14 Mar - 23:00
A little bit of tranquility Ce soir, tu vivais juste ta vie. Comme bien souvent. Tu étais sorti du boulot assez tard, comme assez souvent. Tu travaillais sans surprise bien mieux la nuit. Mais t'avais un léger souci ce soir, c'est que tu avais besoin de te nourrir. Tu ne l'avais pas fait depuis bien assez longtemps comme ça. La nourriture normale ne pouvait pas éternellement te satisfaire. Non, il fallait bien que tu te débrouilles autrement de temps en temps. Ennn agressant potentiellement des gens la nuit, oui. Mais tu t'arrangeais presque toujours pour ne tuer personne. Tu n'aimais pas ça, c'était embêtant d'avoir à se débarrasser d'un corps, tu te sentais généralement bien trop mal.
Tu prenais généralement bien trop de temps à choisir quelqu'un à importuner ce soir. Mais le souci, c'est qu'on avait décidé de te compliquer la tâche. En te faisant chier. Il y avait Fetherstonaugh, tu ne sais pas ce qu'il faisait dehors aussi tard mais tu t'en foutais un peu. Le fait est qu'il n'avait proablement rien de mieux à faire que de venir t'emmerder ce soir, ce qui était triste pour vous deux. Tu essayais tant bien que mal de rester calme, parce que même s'il était chiant tu ne pouvais pas t'en prendre à lui, vous vous connaissiez. Même si tu pourrais t'en foutre, en soi.
De toute façon, t'avais déconné. Tu étais agacé et tendu, sur les nerfs, et il avait bien sûr qu'il eut l'audace de sembler se vanter d'avoir des pouvoirs. Ahh bah oui, ce sorcier chanceux que tu n'étais pas et ne pourrais jamais être. Alors tu n'avais pas réfléchi, et bien assez rapidement tu t'étais surpris à avoir attrapé ton interlocuteur par le col, et à l'avoir tiré dans une ruelle pour le plaquer contre un mur. C'est bien, c'est comme ça qu'on sociabilise. Ca serait tellement facile de juste décider de planter tes canines dans sa jugulaire et de le laisser crever là une fois que tu serais totalement rassasié. T'étais sûr qu'il ne pouvait pas manquer à grand monde. En plus, le sang des sorciers était bien plus nourrissant. Mais tu ne pouvais pas faire çaaa. Alors tu avais un peu desserré ton emprise sur sa chemise, mais tu n'avais pas réussi à t'éloigner.
I'll never find my place.Parce que je suis un enculéTu te faisais bien chier ce soir, c’était assez hallucinant. Pourtant, t’avais quand même quelques passe-temps, mais rien ne te faisait spécialement envie là tout de suite. Et pire que ça, ta journée avait été plus que pourrie, on ne t’avait donné que des articles peu intéressants à faire, qu’on avait pas arrêté de te faire réécrire pour une raison qui t’était toujours obscure d’ailleurs. Alors ça t’avait saoulé, et il fallait bien que tu fasses passer ça, que tu trouves un moyen de te défouler. Et t’allais pas savoir faire ça dans ton petit appartement à Londres là. T’aimais pas rester enfermé, t’aurais bien voulu aller faire chier un de tes frères, mais entre Marwyn qui était porté disparu dans tu ne savais quel pays pour aller se faire photographier, Melvyn dans son semblant de déchetterie où on ne pouvait même pas transplaner, Alvyn qui t’avait menacé de manière un peu trop crédible la dernière fois de t’étriper à mains nues si tu revenais l’importuner eet Ethelbert travaillait ce soir, alors bon, t’avais très peu envie de te mettre toute une brigade à dos quand même. Les autres, ils étaient un peu trop jeunes et t’aurais carrément l’air louche à l’université, en fait. Puis t’aurais bien été faire chier l’autre rousse mais elle était introuvable lààà et le magasin où elle travaillait était fermé à cette heure-ci.
Alors t’avais déambulé, parce que tu ne savais pas trop quoi faire d’autre. T’espérais croiser quelqu’un, mais tout était presque mort, en fait. Triste quand même. T’avais laissé Amethyste à l’intérieur, parce qu’elle était en train de dormir tranquillement dans son panier. Et que tu n’allais pas la forcer à sortir alors qu’elle faisait une sieste en fait. Mais quelqu’un semblait avoir entendu ton appel, t’avais croisé quelqu’un de familier. Ruthven n’aurait pas été ta cible de premier choix, mais t’allais faire avec ce que t’avais hein. Puis c’était quand même quelque chose de drôle de pouvoir s’acharner sur un cracmol là.
Non mais c’était quand même fort qu’on accepte une personne sans pouvoir dans un journal sorcier. Ça en disait long sur la qualité du journal en question. Ah bah t’avais toujours su que c’était bien de la merde Connasse Hebdo là. De la grosse bouse de dragon. Enfin, t’étais plutôt occupé à t’acharner sur ton aîné qui visiblement avait très mal pris la chose. Non mais c’était quoi ça. Depuis quand on prenait les gens par le col franchemeNT. Après il allait être tout moche et t’avais mis du temps à bien le repasser lA. Non c’était faux, t’avais fait ça avec la magie et ça avait pris cinq minutes, même moins. T’avais bien évidemment essayé de te débattre, mais il semblait avoir beaucoup plus de force que toi, en fait. Puis il était beaucoup trop proche à ton goût et le mur ça n’avait vraiment rien d’agréable.
« ▬ Mais j’en ai rien à faire des tes excuses putain, lâche-moi maintenant, j’ai pas envie d’avoir tes sales mains sur moi plus longtemps. »
Messages : 7 Gallions : 35 Date d'inscription : 05/03/2020
Dim 15 Mar - 20:07
A little bit of tranquility Tu aurais pu le lâcher. Tu devrais le lâcher, d'ailleurs. Être raisonnable, t'excuser et le lâcher, continuer ta soirée tranquillement et le laisser en faire de même. Mais non. Tu n'y arrivais pas. Parce que tu avais soif, faim, peu importe, et parce qu'il fallait qu'il s'agisse d'une véritable enflure des plus désagréables. Tu avais serré les dents, et un peu comme par réflexe, tu l'avais un peu plus poussé contre le mur.
« Si tu t'excuses, j'envisagerai peut-être de te lâcher. »
Peut-être. Et encore, t'étais en train de peser le pour et le contre de ce qui se passerait si tu le tuais et franchement, t'étais de plus en plus tenté.. Tu n'aimais pas ce genre de situation, tu n'avais pas envie de réfléchir aussi rapidement. Mais ce n'est pas comme si tu avais le choix. Une chose était sûre, tu n'allais pas lâcher sa chemise de sitôt. Surtout qu'il n'avait pas l'air de parvenir à se dégager, donc bon.
« Non, en fait excuses toi et j'aurais sans doutes la gentillesse de te laisser repartir, parce que je doute que tu souhaites te retrouver dans la rubriques des faits divers du prochain numéro de la Gazette. Bien que ça vous rapporterait peut-être un peu plus de lecteurs. »
Ce n'était pas vraiment ton genre, de menacer qui que ce soit. Généralement tu faisais ton affaire, tu te débrouillais pour ne pas avoir à écouter les plaintes de qui que ce soit. Mais là, autant être honnête, il te pétait grandement les couilles et tu donnais tout pour ne pas le tuer là maintenant tout de suite. De toute façon, il ne t'appréciait déjà pas. Alors t'étais vraiment plus à ça près, vous n'aviez jamais été faits pour vous entendre.
I'll never find my place.Parce que je suis un enculéQu'est-ce qu'il espérait sincèrement en faisant ça. T'impressionner ? Bah c'était pas le cas, du tout. Il était juste ridicule, encore plus qu'un épouvantard après avoir subit un riddikulus. Même toi t'aurais pas réagi comme ça. Déjà parce que t'étais bien plus intelligent que ça et parce que ça n'avait aucun intérêt là de commencer à pousser les gens contre les murs en essayant de les impressionner. Et puis quoi encore ooh. Maintenant il parlait, espérait aussi que tu t'excuses face à cette immense merde? Oui bien sûr, c'était totalement ton genre, totalement ce que t'avais envie de faire là tout de suite. T'en aurais sans doute même jamais envie mais là n'était pas la question.
"▬ Et pourquoi ce serait à moi de m'excuser, alors que c'est toi qui agresse les gens sans aucune putain de raison? Tu sais Sainte-Mangouste c'est pas si loin que ça et je suis certain qu'ils arriveraient même à trouver une place pour quelqu'un comme toi vu ton cas?"
Non mais valait mieux pas qu'il reste en liberté là comme ça, prêt à agresser la première pauvre personne venue non plus, c'était dangereux, surtout pour toi et tu n'appréciais clairement pas hein. Surtout que tu n'arrivais pas à te détacher de son emprise et que ça devenait plus qu'exaspérant en faIT. tu pouvais toujours essayer de lui shooter un peu dans les jambes, mais ce n'était pas vraiment efficace. T'en avais pas vraiment l'impression. Non mais si ça continuait, t'allais finir par lui lancer un sort et ce serait fini. Du moins t'espérais. Maintenant il te menaçait. Comme si ça allait pouvoir vraiment servir à quelque chose. Et bien non, du tout. Ca ne faisait que te motiver à continuer de l'envoyer chier oui. Sale moche là. Il devrait même avoir honte de se balader comme ça et de vous infliger sa gueule.
" ▬ Tu t'es pris pour qui en fait? T'es pitoyable et c'est tout ce que t'es si tu ne le savais pas encore. C'est ça, contrairement à toi si j'y parais, ça sera plutôt en couverture ou dans unes des grandes paGES. Puis contrairement à chez vous on traite de sujets bien plus i n t é r e s s a n t s."
de toute façon vos lecteurs étaient bien meilleurs et mieux que les leurs. Eux au moins voulaient s'instruire et pas être au courant des derniers ragots qui pouvaient circuler et qui n'avaient aucune valeur intellectuelle ou autre d'ailleurs.
Messages : 7 Gallions : 35 Date d'inscription : 05/03/2020
Ven 3 Avr - 23:49
A little bit of tranquility Pourquoi est=ce qu'il fallait qu'il soit aussi désagréable ? Si ce n'était pas le cas, tu ne te serais déjà pas retrouvé à le tenir comme ça contre un mur comme un malpropre que tu n'étais pas en temps normal. Mais il n'y avait absolument rien de normal actuellement. Ca te saoulait, t'étais pas comme ça mais t'avais tellement pas su t'en empêcher.
« Parce que t'es atrocement chiant et désagréable avec moi depuis qu'on a le malheur de se connaître. Parce que je t'aurais pas agressé comme ça sans raison. C'est toi qui va y finir, si tu continues à me pousser à bout. »
Pourquoi c'était pas légal de tuer des geeeens. Ca ne t'arrêtait pas en temps normal, mais là c'était différents, vous travaillez dans le même domaine et vous étiez en quelque sorte rivaux. Tu ne savais pas trop pourquoi il continuait de se débattre comme ça, mais c'était un peu inutile. Parce que tu ne comptais pas bouger. Pas tant que tu n'aurais pas eu droit à des excuses.
« Tu ne veux pas le savoir. Oui j'ai bien compris que tu me trouvais pitoyable, tu me l'a bien assez dit comme ça fils de pute. Mon cul, oui. Intéressant, tu parles, t'es dans le déni total. Autant certains de tes collègues ont un certain talent, mais ce n'est définitivement pas ton cas. C'est pas compliqué, fermes la ou excuses toi, fais un foutu choix.»
Par réflexe, énervement, perte de contrôle t'en savais rien, t'avais vaguement grogné en montrant les dents. C'est bien, bientôt t'allais devenir aussi peu respectable qu'un loup garou. Au moins tu ne te transformais pas en truc moche à chaque pleine lune. Manquerait plus que ça.
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