[+18] Distraction is a good thing || Tomos

T’étais clairement l’homme le plus heureux de la terre. En même temps, t’avais l’occasion d’être avec l’homme le plus parfait de la terre aussi. Quelque chose que tu ne regretterais jamais. Tout comme tout ce que tu avais pu faire avec lui. Ce que vous pouviez faire ensemble. Et ce bonheur était presque indécent, en fait. Il faisait battre ton cœur tellement rapidement. Et de la bonne manière. T’avais jamais été aussi heureux qu’aujourd’hui, que maintenant. Que depuis que t’étais avec lui. De jour en jour c’était de plus en plus grand, ça ne faisait qu’amplifier et t’avais pas l’impression que ça allait s’arrêter. Pourquoi ça s’arrêterait, même. Alors que tout allait si bien. Puis quand tu l’entendais et le voyais haleter de la sorte, tu ne pourrais pas faire autrement que l’admirer. L’admirer et l’aimer de plus en plus.

Tu voyais bien qu’il se sentait bien et c’était tout ce dont t’avais besoin. Ca ne faisait qu’augmenter ton plaisir. Tu le sentais se détendre aussi , de plus en plus. T’aurais arrêté directement sinon, sans chercher plus loin. Son bien-être et plaisir passait avant tout, quand même. Même si par moment t’avais du mal à gérer ce que tu faisais, comme la manière dont tu serrais sa cuisse, mais ça n’avait pas l’air de le déranger plus que ça. Du tout. T’avais un peu reculé ta tête, en reprenant des mouvements assez doux, en faisant surtout attention à ce que sa main ne quitte pas ton visage, et en faisant un peu bouger ton doigt aussi. C’était assez incroyable à quel point tu pouvais avoir envie de lui. A quel point t’avais aucune envie de t’éloigner, que tu voulais toujours et encore plus de contact avec lui.

Comment il faisait pour être aussi irrésistible. Dans tout ce qu’il faisait. Que ce soit ses gestes, ses paroles, même sa manière de respirer. Encore plus quand il se mordait les lèvres là. Ca te donnait l’envie de te jeter dessus, mais t’aimais énormément ta position actuelle aussi. Il était plus que magnifique, même plus que ça. T’avais de plus en plus envie de lui à chaque seconde, t’allais finir par mourir de plaisir si ça continuait comme ça. T’avais envie de lui soutirer encore plus de gémissements ou même tout ce qu’il voulait. T’avais besoin de l’entendre, d’entendre qu’il appréciait ce que tu pouvais lui faire. T’avais réussi à déserrer tes doigts de sa cuisse, pour pouvoir les glisser jusqu’à sa taille, bien trop agréable à agripper aussi d’ailleurs. Elle était beaucoup trop parfaite, comme toute sa personne d’ailleurs. T’en frissonnais c’était assez incroyable.

T’avais fini par venir embrasser son bas-ventre, et remonter le long de son torse en mettant ta mains dans le bas de son dos, pour le soutenir un minimum et que ce soit un peu plus agréable pour lui, puis tu pouvais mieux le tirer contre toi aussi. Tu t’étais arrêté un moment sur son épaule, espérant le distraire en même temps un minimum du deuxième doigt que tu venais de glisser , avant de remonter vers son oreille, lui mordillant un peu le lobe et de lui souffler que tu l’aimais plus que tout, en te collant le plus possible à lui, et sans pouvoir t’empêcher de bouger un peu des hanches.

T’aimais de plus en plus ce bureau, comment t’aurais pu faire autrement, avec un moment pareil. C’est que t’allais plus pouvoir t’en passer. Déjà que t’arrivais plus à le défaire de tes pensées une seule seconde. Et t’aimais tellement le voir comme ça. T’aimais tellement le voir prendre autant de plaisir. T’aimais tellement être aussi proche de lui et passer des moments que tu ne partagerais avec personne d’autre. Tu ne voulais personne d’autre d’ailleurs dans ta vie. T’étais même totalement prêt à ne vivre plus qu’avec lui. T’avais pas vraiment besoin d’autre chose. Ni même de qui que ce soit d’autre. C’était assez incroyable à quel point il arrivait à te faire ressentir autant des émotions que des sensations que tu ne connaissais même pas. Et elles étaient toutes plus agréables les unes que les autres.

T’avais pas pu t’empêcher de l’admirer pendant quelques secondes, t’avais l’impression que ça faisait bien trop longtemps que tu n’avais pas pu plonger d’aussi près ton regard dans le sien. T’avais de nouveau un peu tout oublié autour de vous. Pourquoi y faire attention. Comment aussi alors que t’avais l’homme le plus fascinant du monde. Le seul qui arrivait à te faire te procurer autant de plaisir et d’excitation rien qu’avec un seul bruit. Même si absolument tout jouait. Comme sa voix, ses paroles, les mouvements de son corps. Ton sourire n’avait fait que s’agrandir, encore plus lorsqu’il avait dit vouloir être à toi. Tu pouvais le faire sans aucun problème, et t’étais plus que d’accord avec ça aussi. Tu t’étais permis de lui marquer un peu plus le cou, à des endroits encore vierges. Tu pourrais faire ça toute la journée sincèrement, si t’avais pas peur de finir par lui faire mal. Pas du tout ton but. Tu t’étais un peu cambré en sentant sa main passer dans ton dos. T’en avais eu des frissons, frissons qui s’étaient encore plus amplifiés lorsque ses mains étaient descendues, te tirant une exclamation au passage. Ta main libre s’était accrochée un peu plus à son épaule en le griffant légèrement. T’avais pas vraiment pu t’en empêcher. T’avais juste extrêmement envie de lui, et ce depuis un bon bout de temps maintenant. T’étais venu l’embrasser entre deux soupirs, en venant te coller le plus possible à lui, laissant ton bras venir entourer sa taille pour un peu mieux le soutenir aussi.

Comment on pouvait être aussi magnifique, tu ne l’aurais pas eu sous tes yeux, tu ne l’aurais jamais cru possible en fait. Mais t’avais la preuve sous les yeux que c’était totalement vrai. Tu ne pouvais pas être totalement objectif, même pas du tout. Bah tant pis. Mais il te faisait ressentir tellement de choses différentes en même temps. Même rien qu’en te regardant. En te parlant aussi. T’étais certain que même si t’avais les yeux fermés ou bandés, et qu’il te parlait, t’allais quand même avoir des tonnes de frissons. Bon, ce serait dommage de ne pas pouvoir le regarder alors qu’il était assez proche ceci dit. Mais tant que tu pouvais le toucher et que tu savais qu’il était là même, tu te disais que ça t’irait. Totalement. Qu’est-ce qui ne t’irait pas avec lui. Rien sans doute oui.


T’avais pas à te poser la question là tout de suite. T’étais beaucoup trop absorbé par ce que tu pouvais faire, par son odeur, sa présence, absolument tout. Le fait de pouvoir lui mordiller le cou aussi. D’être aussi proche. Tu ne t’étais pas fait prier pour relever la tête et venir lui mordiller doucement l’oreille aussi. Ca t’avais permis de te rapprocher encore un peu plus de lui. T’espérais juste ne pas trop l’écraser ou quoique ce soit contre le bureau, sinon tu pouvais toujours avoir un minimum de bon sens et lui proposer d’aller directement dans le lit. Ce serait plus confortable pour vous deux. Mais t’avais un peu de mal à parler, mal à faire autre chose que de le coller le plus possible et de t’accaparer de ses lèvres aussi. T’avais pas pu t’empêcher d’exprimer ton contentement lorsqu’il avait commencé à bouger des hanches. T’avais directement suivi en essayant d’avoir le plus de contact possible avec lui. Tu lui avais laissé ta lèvre en soupirant un peu. Même beaucoup. Et en frissonnant assez fort lorsqu’il était venu te caresser. Et t’avais pas pu t’empêcher de venir le prendre en main aussi en essayant de garder un mouvement assez lent, pour qu’il puisse prendre le plus de plaisir possible.

T’avais l’impression que même aimer n’était pas un mot assez fort pour décrire ce que tu ressentais à son propos. Ou simplement parce que tu n’avais jamais aimé auparavant, et t’avais pas l’impression que tu pourrais ressentir ça à l’égard de qui que ce soit. Tu ne voulais pas non plus d’ailleurs. T’en avais aucun intérêt. Tu ne pourrais rien vivre d’aussi intense qu’avec lui. C’était le seul et l’unique à pouvoir te faire perdre tous tes moyens, même te mettre dans un tel état juste avec sa voix ou son regard. Sa présence aussi. T’étais jamais le même quand il était là, t’étais peut-être enfin toi-même d’ailleurs. En tout cas tu te sentais comme tel tout de suite.

T’adorais sentir sa chaleur, son corps contre le tiens, sentir son désir grandir sans compter le tiens. Tu ne savais même pas comment embrasser quelqu’un, sentir sa peau sous tes lèvres, pouvait être aussi agréable. T’avais un peu léché son cou pour changer, pour lui ramener un peu plus de douceur par la même occasion. C’était tout aussi important que le reste. T’avais soupiré un peu plus fort en le sentant bouger contre toi, au même rythme que le tiens. T’en avais eu encore un peu plus de frissons, des frissons s’accentuant lorsque son regard s’était plongé dans le tiens. T’aurais pas su expliquer à quel point sa main te procurait un bien fou. T’avais du mal à ne pas fermer les yeux lorsqu’il serrait un peu plus fort. Tu t’étais appuyé un peu plus fort contre lui, en revenant l’embrasser encore plus passionnément qu’avant, ce n’était pas comme si tu avais à te retenir de quoique ce soit, encore moins avec lui. Tu ne voulais plus te retenir de quoique ce soit non plus, vous aviez attendu assez longtemps comme ça. T’espérais ne pas trop lui faire mal d’ailleurs en te collant encore plus à lui, mais t’avais besoin de ce contact, plus que n’importe quoi là tout de suite.

Dire que t’étais bien était un peu un euphémisme. Même un énorme. Il avait toujours à te faire sentir mieux que n’importe qui, mais à ce point-là. Tu ne pourrais jamais te sentir aussi bien en étant plus loin de lui. Tu te fichais totalement maintenant d’être silencieux ou non, au contraire plus il entendrait ton contentement, mieux ce serait. Il avait totalement le droit de le savoir, bien plus que ça même. T’espérais juste pouvoir lui procurer autant de plaisir qu’il arrivait à t’en faire ressentir. C’est que t’en tremblait par moment. Mais ça te faisait du bien, beaucoup trop d’ailleurs, t’allais peut-être en mourir un jour mais ça serait la meilleure des morts. Bien que t’aimerai quand même continuer de vivre le plus longtemps possible pour passer plus de temps en sa compagnie. C’était important. Plus qu’important.

Tu voulais continuer de le voir dans cet état aussi, de le sentir frissonner sous toi et réagir à chacun de tes gestes. T’étais pas mieux, à chaque fois qu’il produisait un bruit, ça te faisait sentir si frêle par moment. Peu importe l’importance de ce que tu pourrais faire à l’avenir, il lui suffirait de produire un de ces bruits pour que t’abandonnes tout pour le rejoindre. Ou pour lui plus simplement. Tu ferais tout pour lui en même temps. T’avais frissonné une nouvelle fois en l’entendant grogner.Pourquoi c’était aussi satisfaisant. Tu n’avais pas résisté longtemps non plus à te fondre dans son baiser et lui laisser totalement ta langue c’était bien trop satisfaisant et agréable aussi d’ailleurs. En le sentant bouger de la sorte, t’avais fini par poser tes mains sur ses hanches, en te rapprochant encore un peu plus de lui. T’en pouvais plus, d’attendre, du tout. T’avais un peu soupiré contre ses lèvres, avant de le prendre le plus doucement qui t’étais possible de faire actuellement, en venant doucement lui mordiller les lèvres par la même occasion.

Comment t’avais pu un instant penser passer cette soirée tranquillement à le regarder travailler. Surtout que tu te serais un peu senti mal de ne rien foutre. Surtout en pensant à quel point tu pouvais lui faire plaisir. Et à quel point ça te faisait plaisir aussi. T’avais l’impression de ne plus pouvoir te passer de ses mains, de ses caresses, ses regards, tout. T’en étais totalement devenu dépendant, t’allais pas le cacher, ça ne servirait à rien. T’étais de toute manière un peu trop occupé à le remercier comme tu le pouvais pour te concentrer sur autre chose. T’aimais bien trop jouer avec ses lèvres, caresser toute la peau qui était à ta disposition. Et y en avait pas mal, ce qui ne faisait que te ravir. Mais uq’est-ce qui ne te ravissait pas là tout de suite. Tu te sentais tellement bien grâce à lui.  Grâce à tout ce qu’il pouvait t’offrir.


T’avais un peu plus resserré ton emprise sur lui, c’était tellement tentant et agréable aussi. T’étais un peu trop réceptif à tout ce qu’il pouvait faire. T’arrêtais plus d’avoir des frissons, de plus en plus violents à chaque seconde. T’aimais sentir son souffle sur tes lèvres, t’aimais le sentir aussi proche de toi, et encore plus à ce point. Et en sentant qu’il te tirait un peu vers lui, tu ne t’étais pas fait prier un seul instant pour te pencher vers lui et garder une de tes mains sur ses hanches alors que l’autre venait lui caresser les cheveux. T’avais besoin de ces contacts, encore plus depuis qu’il bougeait un peu ses hanches. Un mouvement beaucoup trop agréable et détendant aussi d’ailleurs. T’avais tellement envie de continuer de le regarder, mais après quelques minutes, tu n’avias pas pu t’empêcher de pencher un peu la tête pour pouvoir lui embrasser la pomme d’Adam.

T’étais pas certain de mériter autant de bonheur dans ta vie quand même, de te sentir aussi bien aussi, alors que tu n’avais absolument rien fait pour t’avais l’impression. Tu n’allais vraiment pas t’en plaindre, du tout. Parce que c’était tout ce que tu voulais, être avec lui. Être aussi proche, que ce soit physiquement ou sentimentalement. T’allais pas arrêter de te le répéter, mais en même temps, tu ne voulais pas le normaliser alors que tu savais que les chances que ça arrive étaient extrêmement maigres. Pas impossibles vu où vous en étiez. Tu ne comptais pas t’arrêter là non plus, parce que si tu pouvais lui faire encore plus plaisir, t’allais le faire sans aucune hésitation. Comme t’allais jamais t’arrêter de le caresser sans doute, que ce soit avec tes mains, ou avec tes lèvres.

T’arrivais pas à les détacher de sa peau, que ce soit celle de son visage, ou même tout ce qui était à ta portée, t’avais envie de la recouvrir le plus possible de baisers, de ne laisser aucun endroit tranquille, sans rien. Ca ne serait pas juste, et t’étais persuadé que c’était bien plus agréable pour lui comme ça aussi.T’essayais de le caresser le plus possible, parce que t’en avais envie, que tes mains étaient avides de son contact et que tu te disais que ça pourrait l’empêcher d’avoir trop froid, même si avec le feu allumé dans la cheminée, ça allait déjà être un peu plus difficile. Mais ça ne t’enlevais certainement pas l’excuse de continuer de le caresser. De l’embrasser aussi assez régulièrement, et de bouger un peu, en essayant de prendre son rythme, pas trop rapidement, parce que tu voulais profiter, le plus possible, le plus longtemps possible, et qu’il profite aussi le plus possible. Le temps de t’imprégner de tout, de chaque seconde. T’avais un peu ri contre son épaule, alors qu’une de tes mains lui caressait le torse, venant l’embrasser assez doucement avant de lui répondre.


« ▬ Tu as…vraiment pris la meilleure…décision. Mais ne t’inquiètes pas que…je serais sans doute revenu…à la charge avec de meilleurs arguments. »


T’aurais refusé de passer à côté de ça, sauf s’il t’avait clairement dit de lui foutre la paix, t’allais pas non plus exagérer et le laisser vivre sa vie comme il le voulait un minimum aussi.

Tu ne savais pas comment il arrivait à faire en sorte que chaque moment passé en sa présence soit aussi incroyable et agréable. Des moments que t’avais l’impression que tu ne pourrais pas oublier. T’effacerais bien tous tes souvenirs sans lui pour pouvoir les remplacer et lui laisser plus de place. T’en aurais jamais assez de toute manière, c’était sûr et certain. Tu ne pourrais jamais te lasser de lui, jamais te lasser de ce que vous pouviez faire, vivre ensemble aussi. Faudrait déjà que t’arrives à te rendre pleinement compte que ce n‘était pas un rêve. T’avais toujours un peu de mal avec ça. Mais tu ne t’en plaignais absolument pas. Tu n’avais pas à te plaindre de quoique ce soit là.

T’avais pas pu t’empêcher de te cambrer un peu plus vers lui lorsqu’il était venu caresser ton dos de l’ongle. C’était tellement agréable, ça t’avait fait frissonner un peu trop fort d’ailleurs. Et doucement grogner contre ses lèvres aussi. T’étais beaucoup trop bien, t’avais jamais été aussi bien de ta vie. T’avais gardé une de tes mains sur sa taille, la serrant un peu plus inconsciemment en l’entendant parler. T’aimais beaucoup trop le ton de sa voix, et tout ce qu’il pouvait dire. T’avais gardé ta tête dans son cou, souriant contre sa peau en l’embrassant un peu.


« ▬ Mmh, sans doute en venant m’asseoir sur tes genoux, peut-être en rajoutant un peu plus de bûches dans le feu et venir me plaindre de la chaleur après. Ou…juste en venant te faire…plein de câlins et de plus en plus…d’allusions. »


T’avais d’autres idées, mais tu n’allais pas non plus toute les dire maintenant. Ce serait un peu dommage qu’il n’ait plus aucune surprise. T’avais ponctué ta phrase de plusieurs baisers dans son cou, t’arrêtant par moment pour le mordiller doucement. T’avais un peu dégluti en continuant de le caresser et de bouger un peu plus rapidement. T’avais fermé les yeux en resserrant un peu tes doigts sur lui. T’aimais ce contact, ces contacts, le sentir aussi proche, sentir sa chaleur. T’avais laissé ta main glisser le long de sa taille jusqu’à sa cuisse, la serrant un peu plus et revenant l’embrasser.

T’aurais jamais pensé un jour dans ta vie pouvoir être aussi bien avec quelqu’un. Surtout pas avec la personne qui occupait tes pensées depuis des années. Tu t’étais fait à l’idée que ça reste totalement de l’ordre du fantasme, dont tu te forçais à avoir un peu honte, parce que tu savais que c’était mal, tu savais que t’étais déjà pas censé ressentir quoique ce soit pour lui, alors penser presque inconsciemment et automatiquement à lui dès que t’avais des envies, c’était sans doute pire. T’aurais jamais pensé que ça puisse se réaliser. Qu’en plus ce n’était pas la première fois, et certainement pas la dernière non plus. T’allais certainement pas passer une seule occasion. Surtout pas comme celle-ci. T’allais continuer d’en provoquer aussi. T’étais venu le caresser doucement en gardant une main dans son dos, pour mieux le tenir et éviter qu’il ne perde l’équilibre ou ne tombe. Clairement pas envie qu’il se fasse mal. Bien au contraire. T’avais encore plus souri en l’entendant, venant l’embrasser avec encore un peu plus d’entrain et en lui mordillant un peu sa lèvre.


« ▬ Mh…moi aussi, énormément même. Un peu trop, mais…je m’en fous pas mal. »


T’appréciais beaucoup trop oui. Comme tout ce qui pouvait se passer là tout de suite. Surtout son gémissement. T’avais pas pu t’empêcher de le serrer encore un peu plus suite à ça. Mais c’était tellement agréable à entendre, t’allais tout faire pour qu’il continue d’en produire le plus possible. En le sentant relever un peu sa jambe, t’avais mis ta main sous sa cuisse pour la caresser un peu, la serrer et l’aider à tenir un minimum aussi. Ca serait bien plus facile pour lui. Puis tu pouvais te rapprocher de lui aussi un peu plus facilement. T’appréciais beaucoup trop. Tu ne cherchais même plus à faire aucun bruit là. A quoi bon. Il avait bien le droit de l’entendre et savoir que t’appréciais. T’avais fermé les yeux en mettant un peu ta tête dans son cou, soupirant contre et en essayant de l’embrasser du mieux que tu pouvais.