Sweet smell of roses | Eltanin & Tomos

Qu’est-ce que t’aurais pu faire, sans lui. T’étais certain que ce serait arrivé bien plus vite déjà. Parce que ce que tu pouvais vivre avec lui t’aidait, réellement. A être de meilleure humeur, à mieux prendre les choses. T’aurais pas réagi de la même manière. T’aurais été encore plus énervé, t’aurais sans doute balancé un ou deux trucs dans ton appartement, puis après ? Aucune idée. T’aurais râlé dans ton coin. Pendant des heures. Voir toute la semaine. Te connaissant tu ne serais même pas sorti de la semaine et il y aurait eu de grandes chances pour que tu ne te bouges pas non plus le jour où tu serais censé revenir. Pourquoi ? Tu ne savais pas trop. Faire chier ton monde, oui. Quoi d’autre. Mais ici t’avais envie d’être de bonne foi, d’être au moins un minimum heureux avec Tomos qui ne méritait rien de tout ça. En même temps lorsqu’il te caressait le visage, t’étais pas capable de beaucoup de choses si ce n’était de profiter. T’avais soupiré, doucement en fermant les yeux quelques secondes et en penchant ta tête vers sa main. C’était encore mieux comme ça.


« ▬ T’es un amour. Faut pas non plus que ça commence à te faire chier. Mh, si c’est toi je veux bien, mais le reste ils peuvent aller se faire foutre, surtout pour ça. Oh, ça c’est sûr et certain. Bien mieux et bien plus intéressantes. Je préfère m’occuper de toi, t’es bien plus important et tu le mérite. Parfait alors. On pourra voir ça en temps voulu, même si j’imagine qu’il y aura un meilleur moyen de s’occuper de leur cas sans nous mettre autant dans la merde. Mais j’ai juste envie de les faire souffrir, le plus possible. »


Ca serait tellement incroyable. Bon, jamais autant que ton cousin, certes. Mais ça te ferait énormément de bien là tout de suite, tu savais que ta colère pourrait retomber un minimum, mais bon. C’était un peu impossible là tout de suite.Ce qui l’était, c’était de profiter de ce chocolat, beaucoup trop bon. Surtout s’il continuait de te caresser la joue en même temps. T’appréciais tout là contrairement à ce matin. T’aimais l’écouter, le voir.L’entendre aussi.


« ▬ Plus que bien méritées ! Mmh, j’ai pas envie que tu me supportes comme ça non plus, j’essayerai de faire des efforts. Mais ça viendra sûrement naturellement avoir toi. Ouais mais faut pas que ça déteigne sur toi non plus. Ooh, t’inquiètes pour ça j’aurai aucun mal ! C’est la dernière chose que j’oublierai. »


Pour la peine tu t’étais un peu redressé pour venir passer tes bras autour de son cou et venir l’embrasser, ça aussi ça détendait pas mal. Et ça te mettait de meilleure humeur, très clairement. Comment ça aurait pu avoir l’effet inverse en même temps.

T’en avais marre, d’être autant saoulé. D’être autant saoulé pour ça. Et de continuer d’être saoulé alors qu’ils n’étaient même plus là. Alors qu’ils ne pensaient sans doute même plus à toi. Ou alors, ils étaient peut-être en train de parler de toi dans ton dos et de se foutre de ta gueule. T’étais certain qu’ils n’attendaient que ça. Bah ça tombait bien, t’allais faire la même chose hein. Tu le faisais déjà oui. Quand t’en avais l’occasion. Ils ne méritaient que ça. Et de mourir encore une fois oui. Là tout de suite de manière foudroyante. Ou qu’on ait besoin de ton aide, juste pour que tu puisses refuser. De leur dire que c’était dommage maiiiiis t’étais suspendu. Triiiiste. Désolant. La prochaine fois ils feraient peut-être plus attention à ce qu’ils feraient hein. La prochaine fois on te parlerait mieux peut-être. T’avais encore un peu grogné, sans raison particulière, juste en y repensant.


« ▬ Merci, énormément. D’accord, c’est…vraiment gentil.  Merci d’être là, je suis certain que tu me fais aussi chaud au cœur, voir même plus. T’imagines même pas à quel point …je t’aime et ça me fait plaisir d’être avec toi, qu’on soit…ensemble. O-Oui, quelque chose qui…nous ressemble et oublier tout le reste, même si j’y arrive très souvent quand je me retrouve avec toi. »


Tu l’aimais tellement, c’était assez incroyable. Plus que n’importe quoi au monde. Il arrivait à te détendre, il arrivait à faire tellement de choses. T’avais pas l’habitude qu’on t’écoute, t’avais pas l’habitude non plus de parler aussi franchement à qui que ce soit. T’avais pas l’occasion, puis t’étais pas assez proches des autres pour le faire non plus. T’avais jamais autant apprécié un contact non plus. Un contact qui t’aidait plus que tout d’ailleurs. T’avais un peu fermé les yeux en l’écoutant. Sa voix sonnait si bien, si agréable aussi. Elle te rassurait.


« ▬ C’est vrai ? On risque d’en faire énormément alors, j’espère que t’es prêt mentalement ! C’est…plus que normal. Je veux que tu sois heureux, je veux te rendre heureux comme tu peux le faire avec moi. Mmh, je pense bien que ça ira toujours quand je suis avec toi. »


Tu t’étais encore un peu plus serré contre lui et t’avais pas du tout tardé à bouger tes mains jusqu’à l’arrière de sa tête, pour venir le caresser et approfondir le baiser. T’avais plus aucune envie d’arrêter, de lâcher ses lèvres. Ca aussi, ça te faisait énormément de bien. T’avais un peu soupiré contre ses lèvres en les relâchant d’ailleurs. Tu l’avais un peu tiré vers toi d’ailleurs, t’avais juste envie de venir lui faire le plus gros câlin du monde.

Ca te saoulait quand même pas mal tout ça là. Enfin, tu l’avais déjà bien constaté comme ça, oui. Mais t’avais l’impression de devoir te remettre en question et t’en avais pas vraiment envie. Parce que pour toi, tout allait bien, plus ou moins, jusqu’à maintenant hein. Alors bon. Si c’était pour commencer à faire ça juste pour une bande de cons qui feraient mieux de le faire plutôt que toi si ça se trouvait. Parce que ta vie allait plutôt bien jusque là. Elle continuerait d’aller bien une fois que t’ignorerais leurs pitreries aussi. Ou que tu passerais par-dessus. Ce qui t’arrangerait, mais semblait un peu trop facile. T’allais déjà arrêter de montrer ton mécontentement de n’importe quelle manière et profiter du fait que Tomos soit là, avec toi. Du moins essayer, et c’était plutôt simple ; avec sa main dans tes cheveux, qui t’aidait pas mal à te détendre mine de rien.


« ▬ Je t’assure que c’est loin d’être normal, t’es …incroyable. T’es tout pour moi. C’est vrai, j’espère que ça se vaut ! J’espère pouvoir t’apporter autant de bonheur que tu m’en apportes aussi. Oh, on serait bien différents, je ne sais pas si j’apprécierais autant. Du tout en fait. Ce serait tellement nul sans toi. T’es magnifique en plus de tout ça, je ne sais pas ce que j’ai fait pour te mériter mais je devais être mieux qu’un Dieu dans une vie antérieur. »


Le plus incroyable de tous hein. Tu l’avais encore un peu regardé, avant de t’accrocher un peu à sa chemise pour pouvoir le tirer un peu plus vers toi et venir l’embrasser plus facilement. C’était un peu trop agréable. Tout ce qui le concernait était trop agréable. T’avais levé une de tes mains pour pouvoir lui caresser la nuque assez doucement. C’était tellement doux et chaud. C’était beaucoup trop agréable aussi.


« ▬ Parfait alors, je pourrai t’en faire des centaines alors. Merci à toi surtout, t’arrives toujours à trouver les bons mots et les bons gestes. Oui, tout comme toi. »


Plus que parfait ça. Comme tous ses baisers, celui-là plus particulièrement. Et t’avais été tellement heureux de pouvoir être juste à côté de lui. T’avais même pas hésité plus de quelques secondes avant de venir te blottir contre lui. De venir enfouir ton visage dans son cou aussi, ça faisait beaucoup trop de bien. Et t’étais beaucoup trop bien. Beaucoup mieux qu’avant en tout cas.

Tu continuais quand même de ne pas comprendre comment t’avais bien pu te retrouver là. Comment on avait pu en arriver là. T’avais rien fait de bien méchant non plus. Et t’étais certain qu’absolument tout le monde aurai pu réagir de la même manière, en fait. Et aurait réagi de la même manière, l’inverse n’aurait pas été possible, du tout. Quand on faisait face à quelqu’un d’aussi chiant et d’irrespectueux fallait bien que ça sorte à un moment ou à un autre. Sans doute que le fait qu’il ne soit pas le premier ait joué aussi. Bon, tout, mais ce n’était pas pour ça que t’éprouvais des remords. Absolument aucuns même.Si c’était à le refaire, tu le ferais, juste plus tard le temps que ton supérieur passe hein. Au moins avec ton cousin à tes côtés t’arrivais à y penser de moins en moins et te changer les idées.


« ▬ Tu réussis extrêmement bien ! Je comprends totalement, ce serait la même chose pour moi je pense et je me ferais bien chier aussi en plus quand je n’essayerais pas de passer du temps avec toi. Eh, ce sont des compliments justement mérités alors si en plus ils peuvent te faire encore plus plaisir, ça me va totalement. Faut dire qu’on est sans doute les plus merveilleuses personnes du monde, ce serait difficile de se taire là-dessus. »


Ce serait inutile aussi de se passer de lui faire des compliments et d’en avoir. Comme ses baisers, là d’un coup ça allait beaucoup mieux. Bon, tu te sentais toujours un peu exaspéré et énervé au fond, mais tu pourrais passer par au-dessus facilement sûrement. T’espérais quand même. Parce que Tomos n’avait vraiment rien demandé. Et ne méritait pas non plus que tu commences à tirer la gueule sans raison. Surtout que ça ne serait pas contre lui.

T’avais pris le temps de le remercier avant de t’installer le plus possible contre lui, et de le serrer assez fort aussi, parce que t’avais pas envie de le quitter, tu voulais tout l’inverse, tu voulais juste pouvoir être près de lui et ne plus forcément penser à autre chose. Ce qui était de plus en plus facile lorsqu’il te caressait le dos. T’en avais profité pour passer tes bras autour de sa nuque, en soupirant un peu contre son cou, avant de venir lui embrasser la jour en caressant doucement l’arrière de sa tête.

Tu ne savais pas trop s’il avait extrêmement bien choisi ses chocolats, ou si c’était parce que c’était lui qui te les donnait que ça fonctionnait encore mieux sur toi. Mais ça avait un effet apaisant, et ils étaient surtout beaucoup trop bons.T’en avais fermé les yeux en le mangeant, en serrant un peu plus son épaule d’une main. Ca aussi c’était rassurant et bien plus calmant que quoique ce soit d’autre. T’avais un peu serré le tissu de son pull entre tes doigts en souriant un peu. Pourquoi c’était toujours aussi agréable tout ce que tu pouvais faire avec lui. C’était assez fou quand même. Même bien plus que ça. T’avais un peu penché la tête sur le côté en soupirant, et en essayant de faire partir tout le reste de l’énervement que tu pouvais encore avoir, qui ne servait plus à rien maintenant. Ou en tout cas pas plus que ça. Puis avec ce qu’il disait, c’était plus simple, et tu te sentais mieux, tu te sentais compris aussi, ce qui était assez rare.


« ▬ Je comprends tellement j’ai les même sensations. Je vais finir par essayer de devenir professeur pour pouvoir être encore plus souvent avec toi. Ca ne me dérangerait pas tant que ça de refaire des études je pense, surtout si c’est pour pouvoir être à tes côtés plus longtemps. J’en suis certain ! Chaque jour qui passe ne fait que renforcer cette théorie/ Comme celle que tu es la personne la plus confortable du monde. »


Bon après t’essayais de ne pas non plus trop t’installer sur lui à chaque fois que tu le voyais, parce que ça ne devait pas être spécialement confortable pour lui. Ou à force, tu deviendrais un peu trop lourd. Mais là t’étais tellement bien près de lui. Et il avait l’air content, alors ça t’allait. Un peu trop parce que t’étais prêt à ne plus jamais bouger de ta vie là. Surtout s’il te caressait la nuque de la sorte. T’en avais eu un énorme frisson. Et quand t’avais un peu tourné la tête, tu n’avais pas pu t’empêcher de venir aller planter tes dents dans le chocolat qu’il avait entre les lèvres, en ne te privant pas de venir l’embrasser au passage, le plus longuement possible en venant un peu lécher ses lèvres au passage, c’était encore meilleur avec le chocolat, en fait.

T’avais un peu soupiré en fermant une nouvelle fois les yeux. Peut-être que ça t’aiderait à évacuer le restant de frustration que tu pouvais encore avoir en toi. Bon, ce n’était pas vraiment très efficace visiblement, mais si tu te concentrais sur Tomos, ça allait déjà bien mieux. Surtout lorsqu’il mettait sa main dans tes cheveux, et qu’il les caressait. T’avais l’impression que tu pouvais oublier totalement le reste et juste te concentrer sur lui. Ce que tu allais faire sans aucun remords. C’était même ce qu’il y avait de mieux à faire, et encore plus facile lorsqu’il s’était mis à caresser ton torse. Là, t’avais même fini par totalement te détendre. T’avais rouvert les yeux en souriant et en le regardant.  Tu ne savais vraiment pas ce que t’avais fait pour le mériter, mais tu ne pourrais jamais assez le remercier, de tout ce qu’il pouvait faire pour toi. Surtout maintenant.


« ▬ J’en rêve aussi, je crois qu’il n’y aurait absolument rien de mieux dans ma vie.  Mmh, ce que je veux le plus c’est être avec toi, le reste je m’en fous totalement. Je…ne sais pas trop. Pas dans le médical en tout cas. Je ne sais pas à quel moment je me suis dit que c’était une bonne idée. Oh, et tu n’as pas que cette capacité en plus. T’en as tellement c’est assez incroyable. Oh, elle est bien plus qu’agréable, même indispensable maintenant je pense bien. »


Comment tu pourrais t’endormir sans lui maintenant. Tu n’y arriverais simplement pas. Comme tu ne serais sans aucun doute pas parvenu à te calmer sans lui là tout de suite. Ce serait bien trop difficile, et bien plus nul aussi. Alors que là, tu pouvais simplement rester contre lui, le serrer un peu plus contre toi et venir l’embrasser, chocolat ou non. C’était toujours agréable, encore un peu plus spécial avec le goût du chocolat ceci dit. T’étais venu lui caresser le visage, assez longuement. Parce que t’avais besoin de t’assurer de sa présence, besoin de le toucher aussi, encore et toujours. Surtout maintenant qu’il était rentré, et près de toi. T’avais plus du tout envie de le lâcher en tout cas. Et tu n’en avais pas vraiment besoin là tout de suite. T’ne avais aussi profité pour lui lécher un peu les lèvres doucement, quelques secondes.

Autant t’étais conscient d’être de mauvaise foi à certains moments, autant tu te disais qu’ici, c’était totalement mérité.Qui aurait été heureux de se faire licencier, même si ce n’était pas définitif. C’était encore pire dans un sens t’avais l’impression, parce que franchement ce n’était pas la fin du monde et ce n’était pas comme si t’avais fait quelque chose de grave. Quelque chose de mérité oui. Ce n’était pas non plus comme si tu frappais souvent les gens non plus. Parce que ça ne se faisait pas tellemet non. Bah la prochaine fois tu le ferais plus souvent hein, quitte à se faire renvoyer. Si en plus ça te permettait de passer plus de temps avec ton cousin.T’essayais de positiver maintenant que t’étais avec lui, mais ce n’était pas vraiment facile. En tout cas pas totalement. Mais au moins t’arrivais à ne plus trop y penser lorsque tu le regardais.


« ▬ Mmh, je suis certain que je finirais quand même par être chiant d’une manière ou d’une autre. Et j’ai pas envie que t’aies à supporter ça. Mais merci, ‘espère que je pourrai l’être longtemps. Mmh, c’est ce que je me dis. C’est pas comme si j’avais déjà voulu me lancer là-dedans de moi-même. Enfin, ça pourrait être bien si les gens étaient pas aussi chiants. O u i. Je ne pourrai plus vivre sans toi je pense, j’ai pas envie d’imaginer, ça m’a l’air bien trop nul. »


Totalement. Comment tu pourrais faire sans lui. Sans ses câlins. T’en avais fermé les yeux en te blottissant un peu plus contre lui. Là t’étais bien, là c’était même parfait. Peut-être parce que tu pouvais l’embrasser, ce que tu ne t’étais pas privé de faire lorsqu’il avait un peu entrouvert les lèvres. C’était tellement agréable. Tout comme son espèce de massage. T’avais soupiré de bien être en le remerciant du bout des lèvres et en le serrant un peu plus contre lui aussi. T’étais bien mieux maintenant et t’avais même un peu souri en venant jouer avec ses cheveux du boit des doigts.

Faudrait vraiment que tu travailles sur toi-même, un minimum. Peut-être être moins susceptible. Tu ne savais pas si c’était possible, ni même si c’était utile, parce que jusque maintenant franchement, ça ne t’avait qu’aidé dans ta vie. A avancer aussi et à atteindre tout ce que tu voulais. Sauf qu’ici, ça ne servait strictement à rien si ce n’était te faire perdre du temps à rester dans ce fauteuil sans rien faire. A ruminer oui. Et maintenant ça risquait juste de déteindre sur le blond. Qui souriait. Et ça, ça faisait énormément de bien. T’étais venu caresser un peu distraitement ses lèvres du bout des doigts en souriant un peu aussi à ton tour. C’était qu’il était contagieux, et tant mieux.


« ▬ Merci…Beaucoup. Mh, je ne voudrais pas t’imposer ça, c’est horrible de vivre avec quelqu’un de chiant. Je sais même pas comment te remercier correctement. Je ne sais pas ce que je pourrais faire d’autre, et je ne veux pas rester sans rien faire. O u i. Je ocmprends même pas comment on peut être aussi insupportable avec des personnes qui sont là pour te soigner à la base. Ooh, je suis sûr que tu pourrais, même si je préfère me dire que non et avoir une bonne excuse pour rester le plus de temps avec toi. »


T’avais pas besoin d’excuses pour ça non plus. Déjà il se rapprochait de toi et tu ne pouvais rien demander de mieux là. Si, son massage. Tu lui avais caressé le dos quelques secondes avant de le serrer plus simplement contre toi. T’étais tellement bien comme ça. Surtout lorsqu’il souriait et que tu pouvais lui embrasser la joue. Tout le visage même. Ca, ça t’aidait clairement à te changer les idées et même aller mieux en général. Encore plus s’il te regardait de la sorte, c’est que ça t’en donnerait presque des frissons. T’avais fini par sourire assez franchement et laisse retomber ses mains vers sa taille. T’aurais pu les laisser tranquillement là, mais t’étais venu le chatouiller assez doucement, souriant encore un peu plus,et relevant un peu les jambes en les mettant contre lui pour lui éviter de tomber quand même.


« ▬ T’as vraiment un don spécial pour remonter le moral des gens toi. »

T’avais envie de frapper un truc, mais en même temps, t’avais pas envie de te faire mal. Alors tu pourrais frapper un coussin ou le fauteuil, mais franchement t’avais pas envie de changer de position, t’étais plutôt bien. Tout était relatif, mais t’étais mieux qu’avant, avec Tomos proche de toi et surtout son câlin. T’avais un peu fermé les yeux en marmonnant un peu, tu ne savais même pas spécialement quoi. Parce que t’avais rien à dire de bien intéressant, t’en étais sûr. T’avais un peu soupiré contre son épaule, avant de venir l’embrasser. Elle avait bien droit à des bisous aussi, en fait.Et ça t’aidait à aller un peu mieux. Lui caresser doucement les cheveux aussi. c’était bien plus qu’agréable. C’était détendant. Beaucoup trop même.


« ▬ Mmh, t’es parfait. Je veux te faire vivre les plus beaux jours de ta vie, plutôt que…de te les faire subir peut-être. Mais t’es adorable. Mmh, je veux faire bien plus, tu mérites bien plus. Je ne t ele fais pas dire. Je m’en rends encore plus compte depuis qu’on vit ensemble. Ca m’exaspère. Et ça me saoule de rester bloqué là-dessus alors qu’ils ne méritent même pas autant d’attention. J’veux rester dans ce fauteuil avec toi…toute ma vie. Ce serait tellement plus…simple. Tu crois qu’ils l’accepteraient à l’université pour excuser le fait que je te suive partout ? »


Ah bah s’il n’arrivait pas à avoir ses vacances, t’allais le faire hein. Très clairement. T’allais déjà un peu mieux depuis quelques minutes, en souriant un peu plus. T’étais heureux, oui. Surtout si tu te focalisais sur lui, sur ses réactions, sur ce qu’il faisait et disait. De l’entendre rire. Tu ne l’avais pas chatouillé trop longtemps non plus, parce que tu ne voulais pas qu’il se fasse mal ou autre. Que tu préférais lui faire un câlin aussi. Plus gros qu’avant, et tourner la tête pour l’embrasser aussi. Le plus longtemps possible. T’avais plus envie de le lâcher, et t’étais revenu lui faire plusieurs petits baisers sur ses lèvres avant de lui répondre.


« ▬ Je suis sûr que t’y arriveras même saans rien faire. »

C’était magique quand même, ses gestes et ses mains. T’avais arrêté immédiatement de marmonner pour fermer un peu les yeux et tendre un peu ton visage vers lui. C’était clairement pas le meilleur jour de ta vie, mais il était en train de s’améliorer de manière extrêmement conséquente avec la présence de ton cousin. T’avais un peu caressé son dos avant de te raccrocher à son pull, parce que c’était bien plus rassurant que le reste. Que t’aimais bien le sentir juste sous tes doigts aussi. C’était vachement détendant, surtout de te dire que t’avais pas à penser à qui que ce soit d’autre.Ni à quoique ce soit d’autre non plus. Et t’estimais pouvoir avoir le droit quand même de te sentir de la sorte plus souvent non mais.


« ▬ Oh, c’est certain. Enfin, je suis sûr que ça…ira déjà un peu mieux demain. J’espère en tout cas. Moi aussi, même clairement. C’est tellement mieux de vivre…à tes côtés. J’espère oui, parce que rien qu’y penser ça m’énerve aussi. Ooh, ça c’est intéressant, je suis certain que t’y arriveras sans aucun mal en plus. Ce serait tellement mieux et plus simple comme ça, mh. »


Un peu trop pour être vrai. Mais vous pourriez essayer quand même.T’allais un peu te redresser pour pouvoir le caresser un peu mieux, plus facilement en tout cas eet le serrer contre toi aussi. T’avais déjà l’impression que ça allait tellement mieux, surtout si tu pouvais poser ta tête dans son cou et profiter un peu plus de sa chaleur. T’étais loin de la déception de manger des poils de chat là et c’était pas plus mal. Même bien mieux. Tu lui avais un peu embrassé le cou à l’occasion avant de relever la tête vers lui en souriant un peu plus.


« ▬ Certain, je doute jamais de toi, pour quoique ce soit. »